Retour d'une semaine en Suède.
6 jours de pêche.
12 heures par jour.
8 bonhommes (en oui Lenka, tu pêches 12 heures dans le froid et le vent et t'en redemandes le lendemain : t'es un bonhomme !)
Très peu de pluie mais du vent, des vagues, un changement météo brutal, encore du vent (mais dans l'autre sens), du froid, un lac d'huile, du chaud, encore des vagues, des coups de soleil.
Au niveau pêche, contrairement à ce que l'on pensait, pratiquement tout s'est joué au beau milieu des roselières. La pêche en pleine eau n'a pratiquement rien donné et les innombrables échos détectés dans les couches profondes nous ont laissé un profond sentiment d'impuissance et n'ont pas pu être transformés en touches.
Comme souvent (toujours ?), on a l'impression d'avoir compris certaines choses, et on est totalement largués sur d'autres.
Finalement, c'était de la pêche, de la vraie, avec tout ce que cela implique de moments d'euphorie, de frustrations et d'échecs.
Le nombre de poissons pris n'a rien d'extraordinaire mais la moyenne de taille est juste énorme.
Les mots ou expressions qui ont marqué le séjour :
- on va cartonner
- cassos !
- c'est sur
- c'est faux
- c'est impossible
- c'est inutile
- pour combien tu [censuré] ?
- toad
- shadapalet
- moi je mange pas ça, c'est sur
- j'ai très très chaud
- il fait un peu frais
- on a cartonné
- c'est terminé
60 photos valent mieux qu'un long discours :
A+
Pierrot