J'en parlais dans un post précédent à propos du montage de cannes, Gary Loomis est de retour avec sa nouvelle marque de blanks North Fork Composites.
Pas de cannes montées, uniquement des blanks, et plutôt des bons d'après les premiers retours.
Tackle Tour a publié une interview très intéressante sur l'histoire de la marque originale G.Loomis, mais aussi sur l'introduction du carbone dans la fabrication des blanks.
Partie 1
Partie 2
A+
Pierrot
samedi 26 décembre 2009
mercredi 16 décembre 2009
Utiliser les flux RSS
Salut,
A la demande générale (enfin, Matthieu a demandé, donc je m'exécute devant notre Maître à tous), je vais vous expliquer comment je suis l'actualité des blogs des copains et de sites d'information divers et variés.
Les flux RSS (page Wikipedia) :
Techniquement, un flux RSS est un fichier XML fourni par un site à l'aide d'une URL.
En pratique, c'est le moyen pour un site de diffuser des données sous un format standard, mais uniquement les données et pas leur mise en forme, contrairement aux pages HTML du site.
Ce flux va être alimenté à chaque fois que le site qui le diffuse va ajouter un nouveau contenu.
Quels sites diffusent des flux RSS ?
Les sites d'informations (Le Monde, 20Minutes, Clubic etc), les blogs, certains forums diffusent leur contenu sous forme de flux RSS.
Cela permet d'être alerté des derniers articles ou messages diffusés sur le site qui fournit le flux.
L'image au début de ce message est le logo officiel RSS.
Lorsque vous la trouvez sur un site, c'est qu'il propose son contenu sous forme de flux RSS.
Le navigateur Mozilla Firefox va lui même afficher cette icône à droite de la barre d'adresse pour vous signaler qu'un site propose un flux RSS.
Cliquez sur l'image : votre navigateur va afficher le flux RSS de mon blog.
Euh... On obtient la même chose que sur le site, mais en moche !? Mais alors à quoi ça sert ?
Afficher un flux dans un navigateur ne sert effectivement à rien, ce qui est intéressant c'est d'utiliser plusieurs flux dans un agrégateur de flux, afin de centraliser les données dans une seule et même vue.
Les agrégateurs de flux :
Personnellement j'utilise Google Reader, mais il y en a d'autres certainement tout aussi valables.
Google Reader se présente comme une boite mail, avec différents dossiers qui correspondent aux flux RSS auxquels vous êtes abonné.
Lorsque vous cliquez un logo RSS sur un site ou l'icône dans la barre d'adresse de Firefox, un menu va vous proposer de vous abonner à ce flux via différents agrégateurs.
Une fois que vous êtes abonné, il apparaît dans votre agrégateur qui le met à jour tout seul.
Ainsi, à chaque fois qu'un site diffuse un nouveau contenu, vous verrez apparaitre un petit (1) sur le dossier correspondant a son flux RSS, comme si vous aviez un nouveau mail.
Comme un client mail, un agrégateur va vous signaler le présence de messages non lus, c'est ça qui est vraiment intéressant.
Mais alors, on ne va plus sur les sites originaux, on se contente de lire leur flux ?
Ca dépend : certains sites diffusent leur contenu en intégralité, d'autres diffusent uniquement le titre et les premiers mots de l'article. En cliquant sur le titre, vous êtes redirigé vers l'article dans son intégralité sur le site d'origine.
Quelques avantages de Google Reader :
- C'est un agrégateur web : quel que soit le PC sur lequel vous vous trouvez, depuis n'importe où, vous pouvez y accéder, et consulter vos flux RSS.
- Il inclut une fonctionnalité de partage : lorsque vous trouvez une news intéressante dans un flux, vous pouvez la partager. Elle apparaît alors dans votre liste de partage, qui est elle même un flux RSS.
Cette liste de partage est automatiquement visible par vos contacts Google, mais vous pouvez aussi l'ajouter à votre agrégateur préféré si son propriétaire vous en fournit l'URL.
Depuis Google Reader, on peut ensuite commenter les articles partagés par ses contacts, exactement de la même façon que l'on commente les billets sur un blog.
Par exemple, voila l'URL de ma liste de partage. Attention, ça ne parle pas que de pêche !
Edit : Un collègue vient de partager cet article qu'il a obtenu via le flux RSS de mon blog... mais où va le monde...
Bonne lecture de flux,
Pierrot
A la demande générale (enfin, Matthieu a demandé, donc je m'exécute devant notre Maître à tous), je vais vous expliquer comment je suis l'actualité des blogs des copains et de sites d'information divers et variés.
Les flux RSS (page Wikipedia) :
Techniquement, un flux RSS est un fichier XML fourni par un site à l'aide d'une URL.
En pratique, c'est le moyen pour un site de diffuser des données sous un format standard, mais uniquement les données et pas leur mise en forme, contrairement aux pages HTML du site.
Ce flux va être alimenté à chaque fois que le site qui le diffuse va ajouter un nouveau contenu.
Quels sites diffusent des flux RSS ?
Les sites d'informations (Le Monde, 20Minutes, Clubic etc), les blogs, certains forums diffusent leur contenu sous forme de flux RSS.
Cela permet d'être alerté des derniers articles ou messages diffusés sur le site qui fournit le flux.
L'image au début de ce message est le logo officiel RSS.
Lorsque vous la trouvez sur un site, c'est qu'il propose son contenu sous forme de flux RSS.
Le navigateur Mozilla Firefox va lui même afficher cette icône à droite de la barre d'adresse pour vous signaler qu'un site propose un flux RSS.
Cliquez sur l'image : votre navigateur va afficher le flux RSS de mon blog.
Euh... On obtient la même chose que sur le site, mais en moche !? Mais alors à quoi ça sert ?
Afficher un flux dans un navigateur ne sert effectivement à rien, ce qui est intéressant c'est d'utiliser plusieurs flux dans un agrégateur de flux, afin de centraliser les données dans une seule et même vue.
Les agrégateurs de flux :
Personnellement j'utilise Google Reader, mais il y en a d'autres certainement tout aussi valables.
Google Reader se présente comme une boite mail, avec différents dossiers qui correspondent aux flux RSS auxquels vous êtes abonné.
Lorsque vous cliquez un logo RSS sur un site ou l'icône dans la barre d'adresse de Firefox, un menu va vous proposer de vous abonner à ce flux via différents agrégateurs.
Une fois que vous êtes abonné, il apparaît dans votre agrégateur qui le met à jour tout seul.
Ainsi, à chaque fois qu'un site diffuse un nouveau contenu, vous verrez apparaitre un petit (1) sur le dossier correspondant a son flux RSS, comme si vous aviez un nouveau mail.
Comme un client mail, un agrégateur va vous signaler le présence de messages non lus, c'est ça qui est vraiment intéressant.
Mais alors, on ne va plus sur les sites originaux, on se contente de lire leur flux ?
Ca dépend : certains sites diffusent leur contenu en intégralité, d'autres diffusent uniquement le titre et les premiers mots de l'article. En cliquant sur le titre, vous êtes redirigé vers l'article dans son intégralité sur le site d'origine.
Quelques avantages de Google Reader :
- C'est un agrégateur web : quel que soit le PC sur lequel vous vous trouvez, depuis n'importe où, vous pouvez y accéder, et consulter vos flux RSS.
- Il inclut une fonctionnalité de partage : lorsque vous trouvez une news intéressante dans un flux, vous pouvez la partager. Elle apparaît alors dans votre liste de partage, qui est elle même un flux RSS.
Cette liste de partage est automatiquement visible par vos contacts Google, mais vous pouvez aussi l'ajouter à votre agrégateur préféré si son propriétaire vous en fournit l'URL.
Depuis Google Reader, on peut ensuite commenter les articles partagés par ses contacts, exactement de la même façon que l'on commente les billets sur un blog.
Par exemple, voila l'URL de ma liste de partage. Attention, ça ne parle pas que de pêche !
Edit : Un collègue vient de partager cet article qu'il a obtenu via le flux RSS de mon blog... mais où va le monde...
Bonne lecture de flux,
Pierrot
dimanche 13 décembre 2009
Garonne est magique !
Le niveau est revenu à la normale, l'eau est claire, il fait enfin froid et sec.
C'est le moment d'aller taquiner les brochets de Garonne.
Départ à 11h30 avec Eddy.
Je ne sais pas quelle température il fait, mais je vérifie mes anneaux pour voir si ils ne font pas des glaçons...
En gros on se pèle les couilles.
Au bout de trois heures et demi de pêche sans l'ombre d'une nageoire, le moral en a pris un coup mais on arrive enfin sur mon secteur préféré.
Je sors donc mon BBZ tout neuf et je commence à patater pour essayer de faire bouger un pépère.
Et là, derrière un bloc, la magie opère : je vois une grosse gueule attraper ma truite en travers.
Ferrage, combat de brute, et photo !
Ya bon BBZ !
A+
Pierrot
C'est le moment d'aller taquiner les brochets de Garonne.
Départ à 11h30 avec Eddy.
Je ne sais pas quelle température il fait, mais je vérifie mes anneaux pour voir si ils ne font pas des glaçons...
En gros on se pèle les couilles.
Au bout de trois heures et demi de pêche sans l'ombre d'une nageoire, le moral en a pris un coup mais on arrive enfin sur mon secteur préféré.
Je sors donc mon BBZ tout neuf et je commence à patater pour essayer de faire bouger un pépère.
Et là, derrière un bloc, la magie opère : je vois une grosse gueule attraper ma truite en travers.
Ferrage, combat de brute, et photo !
Ya bon BBZ !
A+
Pierrot
dimanche 6 décembre 2009
Vacciné !
Après plusieurs semaines difficiles, on commençait à croire que tout l'équipage était atteint par la douille A...
Mais fausse alerte, ce n'était qu'une douille de saison et on est de nouveau en pleine santé !
La preuve en images :
A+
Pierrot
Mais fausse alerte, ce n'était qu'une douille de saison et on est de nouveau en pleine santé !
La preuve en images :
A+
Pierrot
vendredi 13 novembre 2009
Tester son frein
On se demande souvent comment tester ou régler son frein.
Voila la réponse en images :
A+
Pierrot
Voila la réponse en images :
A+
Pierrot
mardi 3 novembre 2009
Dépression hivernale
Encore de très belles images de Catch Magazine, dépressifs s'abstenir...
A+
Pierrot
A+
Pierrot
dimanche 4 octobre 2009
Géant berk
Si il ne se passe pas grand chose sur ce blog ces derniers temps, ce n'est pas par manque de temps, ni par flemme, mais bel et bien parce que l'on manque de POISSONS.
Les dernières sorties ont été assez difficiles, peu d'activité, quelques petites perches, un sandre pour David le WE dernier, mais rien de transcendant.
Hier, rendez-vous maintenant habituel à 6h30 avec David pour une sortie brochet-silure.
On met le bateau à l'eau (ou plutôt dans la vase) dans le noir, et on attaque les bordures. Spinner dans les bois morts, javallon dans les herbiers, ondulante et viande pour David sur les tombant.
Une seule tape pour moi au spinner, je ferre 20mn plus tard, je ne vous ferez pas de commentaire sur le résutat.
9h30. On sort le clonk !!!!!!!!
On commence les dérives sur une bordure où le sondeur indique entre 7 et 9m d'eau.
Première dérive : deux échos montent comme des balles et pam, c'est pour David qui sort un premier poisson du mètre.
On refait la même dérive et au même endroit, un écho monte de nouveau.
Cette fois, j'ai placé ma monture un peu en dessous de celle de David et c'est moi qui fais un poisson un peu plus petit.
On reprend la dérive plus haut sur un poste marqué, juste en dessous d'une petite avancée de la berge.
Rebelote, je vois un écho qui monte bien décidé et j'annonce "Attention !" et paf, c'est encore pour moi.
Cette fois-ci, ça tient un peu le fond et j'ai enfin mon poisson de plus du mètre !
Il est autour de 10h15 et on fait une seconde dérive sur le poste.
De nouveau, le clonk fait monter un poisson et c'est ENCORE pour moi !
La tape est nettement plus violente et le poisson paraît de suite plus massif, il met des coups de tête sous le bateau mais refuse de bouger.
Mais ce n'est que lorsque il décide de démarrer que je comprends que l'on a affaire à un candidat plus sérieux cette fois.
David doit manoeuvrer avec l'électrique pour nous écarter des obstacles de la bordure, puis je le laisse se fatiguer sur le frein en le laissant aller vers le large.
David m'annonce qu'il a coupé le moteur alors qu'il y a un gros sillage derrière nous :P
Il balade le bateau pendant un moment avant de donner les premiers signes de fatigue.
Je commence alors à pomper, il lâche ses premières bulles, et on le voit enfin. Bien plus gros que ce à quoi on s'attendait !
C'est un peu flippant, je tremble d'effort et d'émotion et je le hisse à deux mains sur la bâche.
Je suis aux anges, j'ai pris un poisson plus grand que moi.
L'eau n'est qu'à 17° mais un tel poisson vaut bien un petit bain !
La Prologic Butch Light que je pensais trop juste pour des poissons de cette taille s'en est finalement plutôt bien sorti.
A+
Pierrot
Les dernières sorties ont été assez difficiles, peu d'activité, quelques petites perches, un sandre pour David le WE dernier, mais rien de transcendant.
Hier, rendez-vous maintenant habituel à 6h30 avec David pour une sortie brochet-silure.
On met le bateau à l'eau (ou plutôt dans la vase) dans le noir, et on attaque les bordures. Spinner dans les bois morts, javallon dans les herbiers, ondulante et viande pour David sur les tombant.
Une seule tape pour moi au spinner, je ferre 20mn plus tard, je ne vous ferez pas de commentaire sur le résutat.
9h30. On sort le clonk !!!!!!!!
On commence les dérives sur une bordure où le sondeur indique entre 7 et 9m d'eau.
Première dérive : deux échos montent comme des balles et pam, c'est pour David qui sort un premier poisson du mètre.
On refait la même dérive et au même endroit, un écho monte de nouveau.
Cette fois, j'ai placé ma monture un peu en dessous de celle de David et c'est moi qui fais un poisson un peu plus petit.
On reprend la dérive plus haut sur un poste marqué, juste en dessous d'une petite avancée de la berge.
Rebelote, je vois un écho qui monte bien décidé et j'annonce "Attention !" et paf, c'est encore pour moi.
Cette fois-ci, ça tient un peu le fond et j'ai enfin mon poisson de plus du mètre !
Il est autour de 10h15 et on fait une seconde dérive sur le poste.
De nouveau, le clonk fait monter un poisson et c'est ENCORE pour moi !
La tape est nettement plus violente et le poisson paraît de suite plus massif, il met des coups de tête sous le bateau mais refuse de bouger.
Mais ce n'est que lorsque il décide de démarrer que je comprends que l'on a affaire à un candidat plus sérieux cette fois.
David doit manoeuvrer avec l'électrique pour nous écarter des obstacles de la bordure, puis je le laisse se fatiguer sur le frein en le laissant aller vers le large.
David m'annonce qu'il a coupé le moteur alors qu'il y a un gros sillage derrière nous :P
Il balade le bateau pendant un moment avant de donner les premiers signes de fatigue.
Je commence alors à pomper, il lâche ses premières bulles, et on le voit enfin. Bien plus gros que ce à quoi on s'attendait !
C'est un peu flippant, je tremble d'effort et d'émotion et je le hisse à deux mains sur la bâche.
Je suis aux anges, j'ai pris un poisson plus grand que moi.
L'eau n'est qu'à 17° mais un tel poisson vaut bien un petit bain !
La Prologic Butch Light que je pensais trop juste pour des poissons de cette taille s'en est finalement plutôt bien sorti.
A+
Pierrot
lundi 7 septembre 2009
Catch Magazine
Pour ceux qui aiment la pêche à la mouche, ou les belles images en général, l'édition de septembre de Catch Magazine vient de sortir.
Inscrivez-vous et vous recevrez un petit mail à chaque nouvelle édition !
A+
Pierrot
Inscrivez-vous et vous recevrez un petit mail à chaque nouvelle édition !
A+
Pierrot
dimanche 6 septembre 2009
Reconnaissance
Sortie avec David sur un spot de Garonne que l'on lorgnait depuis longtemps.
Premier constat : il est 7h du matin, il fait 9°C et la mise à l'eau prévue consiste en un banc de vase d'environ 30m. Il faut donc improviser.
On trouve un autre accès où il faut un peu porter mais la musculature impressionnante de David nous permet de nous affranchir de cette tâche sans problème.
Dès mon premier lancer avec un spinner, j'accroche une perchette, et j'en rate une autre sur le second.
On commence alors l'exploration du spot qui est très étendu.
On rejoint d'abord une zone de courant où il semble y avoir de l'activité mais je ne prendrai qu'une grosse tape sans suite sur un Beef 100.
Chub ? Truite ? Serpi ? Tape non identifiée.
Je ferai ensuite une perche correcte et j'enchaine avec un joli brochet, toujours au Beef 100.
David remonte la pente sur la fin en prenant deux perches au LS.
C'est beau, il y a du poisson : spot validé, on reviendra.
A+
Pierrot
Premier constat : il est 7h du matin, il fait 9°C et la mise à l'eau prévue consiste en un banc de vase d'environ 30m. Il faut donc improviser.
On trouve un autre accès où il faut un peu porter mais la musculature impressionnante de David nous permet de nous affranchir de cette tâche sans problème.
Dès mon premier lancer avec un spinner, j'accroche une perchette, et j'en rate une autre sur le second.
On commence alors l'exploration du spot qui est très étendu.
On rejoint d'abord une zone de courant où il semble y avoir de l'activité mais je ne prendrai qu'une grosse tape sans suite sur un Beef 100.
Chub ? Truite ? Serpi ? Tape non identifiée.
Je ferai ensuite une perche correcte et j'enchaine avec un joli brochet, toujours au Beef 100.
David remonte la pente sur la fin en prenant deux perches au LS.
C'est beau, il y a du poisson : spot validé, on reviendra.
A+
Pierrot
Croatie
Petit retour sur les vacances du mois d'août.
Au cours de notre petit séjour sur les terres croates, nous avons pu goûter au confort de notre Subaru de location.
Mais nous avons tout de même pu y rentrer les cannes et les sortir pour un coup du soir sur la mythique rivière Gacka.
Rivière magnifique, mais étonnante. Elle sort littéralement de terre en créant des bassins d'un bleu profond, puis s'écoule lentement au milieu des champs.
L'eau y est translucide, bien fraiche, et il est aisé de repérer les nombreuses truites qui se nourrissent en surface ou au milieu des herbiers.
Mais ce que l'on ne voit pas avant de les avoir attrapées, c'est qu'il leur manque quelque chose : des nageoires.
Les farios semblent en meilleur état mais la plupart des arc en ciel ont des moignons pitoyables.
Avec Sylvain, nous n'avons pêché que quelques heures et une dizaine de poissons à deux sur le secteur catch and release.
Peut-être que d'autres secteurs sont moins empoissonnés, et d'après les photos que nous avons pu voir dans notre gîte il semble qu'il y ait également de très beaux poissons.
Mais à 30€ la journée, ça fait cher les moignons...
A+
Pierrot
Au cours de notre petit séjour sur les terres croates, nous avons pu goûter au confort de notre Subaru de location.
Mais nous avons tout de même pu y rentrer les cannes et les sortir pour un coup du soir sur la mythique rivière Gacka.
Rivière magnifique, mais étonnante. Elle sort littéralement de terre en créant des bassins d'un bleu profond, puis s'écoule lentement au milieu des champs.
L'eau y est translucide, bien fraiche, et il est aisé de repérer les nombreuses truites qui se nourrissent en surface ou au milieu des herbiers.
Mais ce que l'on ne voit pas avant de les avoir attrapées, c'est qu'il leur manque quelque chose : des nageoires.
Les farios semblent en meilleur état mais la plupart des arc en ciel ont des moignons pitoyables.
Avec Sylvain, nous n'avons pêché que quelques heures et une dizaine de poissons à deux sur le secteur catch and release.
Peut-être que d'autres secteurs sont moins empoissonnés, et d'après les photos que nous avons pu voir dans notre gîte il semble qu'il y ait également de très beaux poissons.
Mais à 30€ la journée, ça fait cher les moignons...
A+
Pierrot
samedi 8 août 2009
Serpi time
Mon premier essai sur le lac vert ayant été peu fructueux (comprendre 4 ou 5h de pêche sans une touche), Eddy m'y a accompagné pour me montrer un peu comment ça se passe chez les Gaules Apparentes.
Résultat, il commence par me prouver que mon animation-sans-animation-de-dans-les-livres ne vaut pas un caillou en prenant trois serpis alors que j'ai n'ai pas une touche, et tout ça avec un shad GT colori Marlboro !
Obligé de prendre sur moi, je me résous à mettre moi aussi un shad GT et à copier (la honte) son animation beaucoup plus ample.
Et les résultats ne se sont pas fait attendre puisque je reviendrai au score en prenant moi aussi mes trois serpis et une perche sur un montage tandem-drop-shot-maxi-pute.
Egalement quelques autres ratés ou décrochés pour tous les deux.
Les températures commencent à baisser, on espère que l'on va pouvoir aller chercher les plus gros en Garonne très bientôt.
A+
Pierrot
Résultat, il commence par me prouver que mon animation-sans-animation-de-dans-les-livres ne vaut pas un caillou en prenant trois serpis alors que j'ai n'ai pas une touche, et tout ça avec un shad GT colori Marlboro !
Obligé de prendre sur moi, je me résous à mettre moi aussi un shad GT et à copier (la honte) son animation beaucoup plus ample.
Et les résultats ne se sont pas fait attendre puisque je reviendrai au score en prenant moi aussi mes trois serpis et une perche sur un montage tandem-drop-shot-maxi-pute.
Egalement quelques autres ratés ou décrochés pour tous les deux.
Les températures commencent à baisser, on espère que l'on va pouvoir aller chercher les plus gros en Garonne très bientôt.
A+
Pierrot
samedi 1 août 2009
Devinette
Qu'est-ce qui est gluant, vert, et qui pue ?
...
Et bien non, c'est un lac collinaire battu par le vent en plein été !
A+
Pierrot
...
Et bien non, c'est un lac collinaire battu par le vent en plein été !
A+
Pierrot
mercredi 22 juillet 2009
Rod building
Suite à de nombreuses pressions extérieures, d'une part de personnes en ayant marre de voir G.I. Joe monopoliser l'affiche, et d'autre part de personnes en quête d'informations sur le montage de cannes, voila un petit sujet en conséquence.
Tout d'abord des vidéos rares, en direct de l'usine St Croix dans le Wisconsin :
La même chose chez G-Loomis (source The Fin):
A noter que la marque G-Loomis, initialement fondée par Gary Loomis et maintenant détenue par Shimano, va cesser de commercialiser des blanks pour se consacrer uniquement aux cannes "finies".
De son côté, Gary Loomis est très attendu par toute la communauté des monteurs US avec sa nouvelle marque North Fork Composites. Un catalogue provisoire est déjà disponible en ligne, il ne manque que les poids des blanks (comme chez G-Loomis...) et les tarifs !
On y apprend que la marque fournira les données CCS pour ses blanks, le fameux Common Cent System, et qu'elle est membre de l'association 1% For the Planet.
Pour ceux qui veulent approfondir leur connaissances en la matière, je recommande une lecture assidue du forum Rodbuilding.org et des articles présents dans la rubrique Library.
Tight lines, and tight wraps !
Pierrot
Tout d'abord des vidéos rares, en direct de l'usine St Croix dans le Wisconsin :
La même chose chez G-Loomis (source The Fin):
A noter que la marque G-Loomis, initialement fondée par Gary Loomis et maintenant détenue par Shimano, va cesser de commercialiser des blanks pour se consacrer uniquement aux cannes "finies".
De son côté, Gary Loomis est très attendu par toute la communauté des monteurs US avec sa nouvelle marque North Fork Composites. Un catalogue provisoire est déjà disponible en ligne, il ne manque que les poids des blanks (comme chez G-Loomis...) et les tarifs !
On y apprend que la marque fournira les données CCS pour ses blanks, le fameux Common Cent System, et qu'elle est membre de l'association 1% For the Planet.
Pour ceux qui veulent approfondir leur connaissances en la matière, je recommande une lecture assidue du forum Rodbuilding.org et des articles présents dans la rubrique Library.
Tight lines, and tight wraps !
Pierrot
mercredi 8 juillet 2009
G.I. Joe
Cet après midi, alors qu'on était peinard avec Julien, le cul au frais, à regarder les péniches et les skieurs nautiques nous passer autour dans une danse majestueuse, 2 hommes en uniforme nous ont interpelés depuis la berge à coups de sifflet.
Donc palmage énergique pour rejoindre la berge, et là le plus enhardi des deux nous
Les deux compères sont en fait de la Police Municipale, et je leur réponds qu'on a des permis de pêche...
Mais il continue à brailler qu'on lui demande (genre ça vient de plus haut !) de vérifier, parce que des mecs du bord, ça oui il en a vus, mais en bateau, "au milieu de la Garonne", alors ça non, il n'y en a jamais, et qu'il va donc "appeler" pour vérifier qu'on a bien le droit de pêcher "au milieu de la Garonne".
Je réponds donc que ce ne sont pas des "bateaux", qu'il y en a souvent, nous ou d'autres, qu'on a parfaitement le droit de pêcher où on veut, et que si ils veulent vérifier il faut qu'ils appellent l'AAPPMA ou la Fédé.
Son compère, plus calme, appelle donc Gérard (on l'appelera Gérard car on ne sait pas qui il a appelé) et revient, l'air un peu embarrassé : "Bon, on nous dit que c'est bon, vous pouvez rester..."
Sans déc ?
Mais le cow boy ne se démonte pas et avance maintenant que c'est en fait pour notre sécurité...
Julien lui a donc montré qu'on avait DES PALMES !!!!!
Notre cow boy a alors hoché la tête avec un air entendu du genre "Ahhhhh !!! Mais je vois que vous êtes vraiment des professionnels les gars" et ils se sont tous deux retirés, devant le regard atterré d'un gars sur la péniche d'à côté.
Merci donc à la Police Municipale pour ce grand moment de pur bonheur, qui m'a quand même salement agacé sur le coup.
A noter également, le clin d'oeil sympathique du speaker de la péniche promenade qui a inclu les "pêcheurs de silures" dans son programme entre la présentation du quai de la Dorade et du Pont Neuf.
A+
Pierrot
samedi 4 juillet 2009
jeudi 2 juillet 2009
French moustache
L'objectif de l'année est de se mettre sérieusement à la recherche des moustachus de Garonne.
C'est chose faite ce jeudi avec Laurent de la Team 82 qui m'accompagne... ou que j'accompte.
Je connais bien le coin, il sait pêcher le silure... je ne sais pas trop qui accompagne qui finalement...
En tout cas, ce fut une sortie sympa et bien que nous n'ayons pas touché de gros poisson, Garonne tient toujours ses promesses.
Un sandre :
Sept moustachus pour Laurent :
Et deux pour moi :
Mon petit doigts (pas celui qui s'est fait scié par la tresse, l'autre) me dit que nous en prendrons des plus gros très bientôt ;)
A+
Pierrot
C'est chose faite ce jeudi avec Laurent de la Team 82 qui m'accompagne... ou que j'accompte.
Je connais bien le coin, il sait pêcher le silure... je ne sais pas trop qui accompagne qui finalement...
En tout cas, ce fut une sortie sympa et bien que nous n'ayons pas touché de gros poisson, Garonne tient toujours ses promesses.
Un sandre :
Sept moustachus pour Laurent :
Et deux pour moi :
Mon petit doigts (pas celui qui s'est fait scié par la tresse, l'autre) me dit que nous en prendrons des plus gros très bientôt ;)
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Pierrot
jeudi 25 juin 2009
Grüt !
Un an que l'on attendait ce séjour en Suède.
Un an que l'on faisait des plans sur la comète au sujet des leurres à employer.
Et un an que l'on rêvait de brochets énormes par dizaines.
... mais rien ne s'est vraiment passé comme prévu.
Tout d'abords niveau météo. On ne s'attendait pas forcément à pêcher en short et en T-Shirt mais les trois premiers jours ont été un véritable enfer. De la pluie presque sans discontinuer, et du vent, du vent, et encore du vent.
Je vous laisse imaginer la qualité des dérives à 200km/h sans moteur électrique.
La première journée est plutôt productive avec 9 poissons chacun pour David et moi, mais force est de constater que la taille n'est pas au rendez-vous.
Les jours suivant confirment que la taille moyenne des prise est très basse, et je m'efforce donc de pêcher plus gros, et surtout plus loin des roselières que les sifflets semblent tant apprécier.
Alors que David est d'une régularité implacable au fil des jours, mes prises diminuent, mais je garde espoir de toucher un gros en pêchant de la sorte.
Les autres (nous somme huit pêcheurs en tout) ont des résultats à peu près similaires, bien que David soit toujours en tête en terme de nombre de captures.
Le deuxième jour, c'est Henri Louis qui touchera le premier beau poisson avec un Triple Impact :
Deux jours plus tard, je prends une bonne châtaigne en pêchant au Salmo Slider 12S en pleine eau. Je fais un ferrage appuyé mais j'ai ensuite l'impression de ramener une branche ; j'annonce même qu'il y a peut être des serpis dans ce lac !
Mais arrivé à proximité du bateau, c'est le rush.
Le combat se fait tout en force et le poisson refuse de monter vers la surface pendant un bon moment.
Arrivé au bateau, je galère un peu pour le saisir car il est encore bien en forme, et dès que je le tiens enfin, je le reconnais : c'est le même poisson qu'Henri Louis a pris deux jours plus tôt, parfaitement identifiable à cause de l'espèce de champignon qu'il a sur la queue :
On est pourtant à 400m de la petite anse dans laquelle il a été pris la première fois.
C'est à Nesta que revient le big fish du séjour, pris au 4Play 19cm (colori ?) au coeur des herbiers au milieu d'un banc de blancs :
Et Matthieu est le baisé de la semaine car il décrochera tous ses plus beaux poissons :
Après réflexion, il a donc décidé de créer l'Association des 80down. Le règlement en est très strict : tout poisson ramené au bateau et mesuré à plus de 80cm entraine l'exclusion immédiate.
L'Association compte pour l'instant un seul membre. Pour adhérer, contactez directement Matthieu.
Alors que David caracole toujours en tête de façon insolente, il touche quelques poissons corrects, mais rien de vraiment gros :
Pourtant, il s'entrainait tous les jours :
Au final, c'est moi qui suis le mieux récompensé pour ma persévérance à pêcher big bait loin des bordures. En plus du mal au bras, j'attrape quelques jolis poissons :
Les gros leurres ont su faire bouger les plus gros poissons, mais ils n'ont pas été aussi productifs que prévu. Les gros se tenaient loin des bordures, et certainement encore plus profond que là où on les cherchait.
Peut-être que l'absence de nénuphars (en retard pour la saison) les dissuade de s'approcher des bordures ?
Les leurres qui sont sorti du lot sont :
- ondulante,
- Sride 125,
- 4Play 13cm,
- Salmo Slider 10S et 12S,
- Sizmic Toad.
Et n'oubliez jamais : tout est possible à la pêche ! (oui David, même prendre un thon rouge à Labège, ce n'est qu'une question de temps)
A+
Pierrot
mercredi 3 juin 2009
Voyage au centre de la terre
Ce qui est frappant lorsque l'on arrive en Nouvelle Zélande, c'est l'immensité.
Dés que l'on aperçoit l'île du sud par le hublot de l'avion, on comprend que l'idée que l'on se faisait du pays, un petit bout de terre entouré de mer, va rapidement s'effriter.
Les sommets enneigés des Alpes tombent directement dans la mer pour former la côte ouest.
Tout n'est que vastes étendues, des lacs immenses, des plaines, tantôt verdoyantes, tantôt arrides, mais presque systématiquement sur fond de montagnes, sans transition.
Premier jour, première nuit à l'arrache dans le van, premier accès à la rivière qu'il faut trouver en lisant et relisant les précieuses indications de John.
Premier poisson pour certains, et première casse pour d'autres.
Ce sont aussi les premiers poissons pêchés à vue, les premières doses d'adrénaline qui montent rien qu'en s'usant les yeux à scruter la rivière.
On ne le sais pas encore, mais rien ne sera plus comme avant.
Ensuite, c'est la traque. On cherche d'autres rivières, LA rivière, celle où l'on trouvera toujours plus de poissons, toujours plus gros.
Parfois, comme ailleurs, on se casse les dents.
Mais les truites, les browns comme les rainbows, sont toujours magnifiques.
Plus qu'à y retourner...
A+
Pierrot
Dés que l'on aperçoit l'île du sud par le hublot de l'avion, on comprend que l'idée que l'on se faisait du pays, un petit bout de terre entouré de mer, va rapidement s'effriter.
Les sommets enneigés des Alpes tombent directement dans la mer pour former la côte ouest.
Tout n'est que vastes étendues, des lacs immenses, des plaines, tantôt verdoyantes, tantôt arrides, mais presque systématiquement sur fond de montagnes, sans transition.
Premier jour, première nuit à l'arrache dans le van, premier accès à la rivière qu'il faut trouver en lisant et relisant les précieuses indications de John.
Premier poisson pour certains, et première casse pour d'autres.
Ce sont aussi les premiers poissons pêchés à vue, les premières doses d'adrénaline qui montent rien qu'en s'usant les yeux à scruter la rivière.
On ne le sais pas encore, mais rien ne sera plus comme avant.
Ensuite, c'est la traque. On cherche d'autres rivières, LA rivière, celle où l'on trouvera toujours plus de poissons, toujours plus gros.
Parfois, comme ailleurs, on se casse les dents.
Mais les truites, les browns comme les rainbows, sont toujours magnifiques.
Plus qu'à y retourner...
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