mercredi 3 juin 2009

Voyage au centre de la terre

Ce qui est frappant lorsque l'on arrive en Nouvelle Zélande, c'est l'immensité.
Dés que l'on aperçoit l'île du sud par le hublot de l'avion, on comprend que l'idée que l'on se faisait du pays, un petit bout de terre entouré de mer, va rapidement s'effriter.
Les sommets enneigés des Alpes tombent directement dans la mer pour former la côte ouest.
Tout n'est que vastes étendues, des lacs immenses, des plaines, tantôt verdoyantes, tantôt arrides, mais presque systématiquement sur fond de montagnes, sans transition.




Premier jour, première nuit à l'arrache dans le van, premier accès à la rivière qu'il faut trouver en lisant et relisant les précieuses indications de John.
Premier poisson pour certains, et première casse pour d'autres.
Ce sont aussi les premiers poissons pêchés à vue, les premières doses d'adrénaline qui montent rien qu'en s'usant les yeux à scruter la rivière.
On ne le sais pas encore, mais rien ne sera plus comme avant.



Le combat...La casse...


Ensuite, c'est la traque. On cherche d'autres rivières, LA rivière, celle où l'on trouvera toujours plus de poissons, toujours plus gros.







Parfois, comme ailleurs, on se casse les dents.




Mais les truites, les browns comme les rainbows, sont toujours magnifiques.






Plus qu'à y retourner...




A+
Pierrot

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